Raise Us Up [Hebrew/Arabic] – The Voice of One Calling

« Raise Us Up », écrit par Siyona Adranly. Arr. et perf. par The Voice of One Calling (feat. Siyona Adranly, Illit Ferguson, & Zak Davis)

Clip réalisé juste avant l’attaque du Hamas sur le sol de l’Etat d’Israël, le 07 octobre 2023, et la tragédie frappant israéliens et palestiniens, « Raise Us Up » nous rappelle, d’une même voix, en hébreu et en arabe, ce qu’est mener « le Bon Combat » au Nom de Jésus. Car « notre lutte n’est pas contre l’homme (la chair et le sang) », mais bien spirituelle, « contre les puissances, contre les autorités, contre les souverains de ce monde de ténèbres, contre les esprits du mal dans les lieux célestes », selon Ephésiens 6v12. Une lutte que l’on mène ensemble dans l’unité de l’Esprit Saint (Ephésiens 4v3) et la prière, « le genou à terre ».

Paroles (en anglais, hébreu et arabe) :

Intro:

[Hebrew] Narim Yadenu (we will raise our hands)

[Arabic] NarfaE’ul A’ayadi (we will raise our hands)

[Hebrew] Narim Yadenu (we will raise our hands)

[Arabic] NarfaE’ul A’ayadi (we will raise our hands)

We raise our hands to the King of Kings

Verse:

Your children are falling worse than ever before

Your people are suffering, fighting a war

Darkness and fear are trying to kill

But Your light and love are doing

Your will Though evil strikes down and makes us weak

Your powerful truth makes our hearts speak…

Chorus:

We raise our hands to the King of Kings

No one can control what his nation sings

We raise our hands to the King of Kings

We’ll fight for our God over everything

Chorus Repeat in Hebrew:

[Hebrew] Narim yadenu le’melech ha’mlachim

[Hebrew] Lo yagdiru le’amcha eych mehalelim

[Hebrew] Narim yadenu le’melech ha’mlachim

[Hebrew] Omdim mul ha’col anachnu lo mevatrim

Chorus Repeat in Arabic:

[Arabic] NarfaE’ul A’ayadi limalikal mulook

 [Arabic] La yuwqifu A’aHad nasheeda shaE’bihi

[Arabic] NarfaE’ul A’ayadi limalikal mulook

[Arabic] Sanuwajihul taHaddi raghma kulla shay’A

Bridge:

Raise your army raise us up Make us warriors that don’t give up

[Hebrew] Hachieh otanu [Hebrew] Hakem lecha tsava

[Hebrew] Aseh otanu osey dvarcha

[Arabic] Qawem abtalak nadina [Arabic] Limuhaqiqi awamrak jadedna

Tag:

All Lies are gone

We know the truth

No matter what

We’ll fight for you

We are free

No one can hold us in

So we lift Your name

Ending:

[Hebrew] Narim yadenu (we will raise our hands)

[Arabic] Limalik al mulook (to the King of Kings)

We’ll fight for our God over everything

« Parle Seigneur, car ton serviteur écoute » (1 Samuel 3v9) : la réponse à l’appel de Dieu

Le dimanche 18 juin, nous nous sommes souvenus d’un célèbre « appel du 18 juin » (1940) à poursuivre le combat, à s’unir dans l’action pour la victoire et la libération. Parce que « non », le dernier mot n’est pas dit, l’espérance ne doit pas disparaître, et parce que la défaite n’est pas définitive.

Jésus ressuscité est celui qui a le dernier mot contre tout ce qui nous opprime, nous angoisse et nous décourage, y compris la mort elle-même, le dernier ennemi qui sera détruit, nous dit la Bible.

Et la même Bible nous parle d’un autre appel, celui de Dieu, qui a reçu la réponse suivante : « Parle Seigneur, car ton serviteur écoute ». 

En introduction à notre méditation du jour, deux textes : 

Lecture du Psaume 40v7-9

Tu n’as voulu ni sacrifice ni offrande,
– tu m’as creusé des oreilles pour entendre–
tu n’as demandé ni holocauste ni expiation.

Alors j’ai dit : « Voici, je viens
avec le rouleau d’un livre écrit pour moi.

Mon Dieu, je veux faire ce qui te plaît,
et ta loi est tout au fond de moi. »

Lecture de 1 Samuel 3v1-10

1Le petit Samuel servait le SEIGNEUR en présence d’Eli. La parole du SEIGNEUR était rare en ces jours-là, la vision n’était pas chose courante. 2Ce jour-là, Eli était couché à sa place habituelle. Ses yeux commençaient à faiblir. Il ne pouvait plus voir. 3La lampe de Dieu n’était pas encore éteinte, et Samuel était couché dans le temple du SEIGNEUR, où se trouvait l’arche de Dieu. 4Le SEIGNEUR appela Samuel. Il répondit : « Me voici ! » 5Il se rendit en courant près d’Eli et lui dit : « Me voici, puisque tu m’as appelé. » Celui-ci répondit : « Je ne t’ai pas appelé. Retourne te coucher. » Il alla se coucher. 6Le SEIGNEUR appela Samuel encore une fois. Samuel se leva, alla trouver Eli et lui dit : « Me voici, puisque tu m’as appelé. » Il répondit : « Je ne t’ai pas appelé, mon fils. Retourne te coucher. » 7Samuel ne connaissait pas encore le SEIGNEUR. La parole du SEIGNEUR ne s’était pas encore révélée à lui.8Le SEIGNEUR appela encore Samuel, pour la troisième fois. Il se leva et alla trouver Eli. Il lui dit : « Me voici, puisque tu m’as appelé. » Eli comprit alors que le SEIGNEUR appelait l’enfant. 9Eli dit à Samuel : « Retourne te coucher. Et s’il t’appelle, tu lui diras : Parle, SEIGNEUR, ton serviteur écoute. » Et Samuel alla se coucher à sa place habituelle.10Le SEIGNEUR vint et se tint présent. Il appela comme les autres fois : « Samuel, Samuel ! » Samuel dit : « Parle, ton serviteur écoute. » 

Deux choses à relever dans ce dernier texte :

« Le jeune Samuel servait le Seigneur », commence notre passage, en contraste avec les fils du sacrificateur Eli, lesquels bien que prêtres « ne connaissaient pas le Seigneur ». Ces derniers se servaient eux-mêmes plutôt que de servir le Seigneur (1 Sam.2v18 et ss), et prenaient aussi de force, en contraste avec le Seigneur « qui n’a pas cherché l’égalité avec Dieu comme une proie à arracher » (Philip.2v6 et ss)….Lui-même ne s’est d’ailleurs pas non plus attribué « la gloire de devenir Souverain sacrificateur », mais il l’a reçu de la part du Père, qui l’a appelé à cela (Hébr.5v4-6).

Par contraste avec les fils d’Eli, l’enfant Samuel nous est présenté comme étant suffisamment vertueux pour ne pas suivre leur mauvais exemple : il « servait le SEIGNEUR, en présence du prêtre Eli et en présence du SEIGNEUR (…). Il grandissait en taille et en beauté devant le SEIGNEUR et aussi devant les hommes » 1 Samuel 2v11-12, 18, 21, 26 (cf ce que l’on disait de Jésus enfant en Luc 2).

Le texte nous dit encore que « La Parole du Seigneur était rare en ces jours-là », jusqu’au moment où, au milieu de la nuit, le Seigneur appelle Samuel. Celui-ci répond « me voici ! » – « Hineni ! » en hébreu (1 Sam.3v4).

« Hineni, hineniMe voici, me voiciI’m ready, my lordJe suis prêt mon Seigneur » sont les paroles d’une chanson de Léonard Cohen, inspiré du psaume 40.

« Hineni ! Me voici ! » C’est là la réponse du Serviteur, prêt à répondre à l’appel de son Seigneur. « Me voici » sans tricher, sans me dérober, sans me justifier, sans négocier….

Le premier à répondre ainsi à l’appel du Seigneur est Abraham, alors qu’il est mis à l’épreuve (Gen.22v1). Puis, nous avons le « hineni » de Jacob, quand Dieu l’appelle (Gen.31v11, 46v2) ; celui de Moïse au buisson ardent (Ex.3v4), celui d’Esaïe lors de sa vocation (Es.6v8). Et celui d’Ananias (Actes 9:10).

Avant le « hineni » de l’homme, il y a les deux premiers « hineni » de Dieu adressés à Noé, avant le déluge (Gen.6v13, 17) et après le déluge (Genèse 9v9). C’est le « me voici » de Dieu qui s’engage, autant dans le jugement que dans l’alliance.

Samuel est réveillé au milieu de la nuit par une voix qui l’appelle par son prénom. Aussitôt appelé, il court vers Eli, pour être au service de celui qu’il sert. Peut-être avait-il l’habitude d’être appelé par Eli. Sauf que cette fois-ci, ce n’était pas Eli. La même scène se répète une deuxième fois. Samuel est encore un enfant. Il ne sait pas encore distinguer la voix du Seigneur de celle de son maître Eli. « Samuel ne connaissait pas encore le SEIGNEUR. La parole du SEIGNEUR ne s’était pas encore révélée à lui » (v7), mais elle est sur le point de l’être.

Au bout de la troisième fois, Eli comprend que c’est le Seigneur qui appelle Samuel, peut-être parce qu’il pressent que la Parole est pour lui. Il donne instruction à Samuel : « s’il te rappelle, réponds-lui : « parle Seigneur, car ton serviteur écoute ». C’est là l’une des deux choses les plus importantes qu’Eli a appris à Samuel. La deuxième est de ne pas tricher avec la Parole de Dieu. C’est à dire d’être prêt à entendre et à délivrer la Parole de Dieu même si elle ne nous est pas agréable, sans se soucier de popularité ou d’impopularité.

Pour que Dieu parle, il faut une oreille pour écouter. « La Parole du Seigneur était rare », sans doute parce qu’il manquait peut-être des oreilles pour écouter.

 « Le Seigneur vint et se tint là » (v10) : il ne fait pas qu’appeler, il se tient en présence de Samuel. Lorsque son serviteur est prêt à écouter, le Seigneur est présent, car « écouter » est synonyme d’obéissance.

L’écoute (= l’obéissance) est tellement importante pour Samuel, qu’il dira plus tard : « écouter vaut mieux que sacrifice » (1 Sam.15v22). Le psaume 40 dit aussi « Tu n’as voulu ni sacrifice ni offrande, – tu m’as creusé des oreilles pour entendre–tu n’as demandé ni holocauste ni expiation. Alors j’ai dit : « Voici, je viens avec le rouleau d’un livre écrit pour moi. Mon Dieu, je veux faire ce qui te plaît, et ta loi est tout au fond de moi. »

Dieu n’a voulu « ni sacrifice ni offrande ». Sans doute parce que l’expiation a déjà été faite. Jésus a déjà répondu « me voici » en étant le sacrifice ultime. Dieu « a pourvu à l’agneau » (Gen.22v8). Le « sacrifice » que nous offrons à Dieu est notre « me voici, je viens. Je veux faire ce qui te plaît ».

L’appel de Dieu est personnel : il n’est pas possible de répondre pour un autre. Nous pouvons souhaiter, par exemple, que notre enfant soit consacré au Seigneur, mais nous ne pourrons pas répondre pour lui. Les vœux sont toujours délicats dans la Parole de Dieu. Nous pouvons souhaiter qu’il devienne « homme » ou « femme de Dieu », « pasteur », évangéliste »….mais si l’appel pour mon enfant est autre ? (Boulanger, pour faire du bon pain et ainsi bénir les autres ?)

L’appel de Dieu est sans mérite :

Les pères (que l’on fête aujourd’hui) et les mères savent que leurs enfants sont un « don », pas « un dû ». Nous n’avons donc pas à attendre ou à exiger « un retour sur investissement », d’être « payé en retour » [de la part de nos enfants ou de Dieu] suite à ce que nous avons fait pour eux.

Romains 11v35 le dit clairement : « qui lui a donné le premier pour devoir être payé en retour ? »

Apprenons plutôt à considérer que tout ce que nous avons obtenu par nos efforts, nos sacrifices, nous l’avons en réalité reçu. L’enfant que nous aimons a toujours plus de valeur lorsque nous le voyons « beau aux yeux de Dieu » et lorsque nous le voyons comme un cadeau qui nous est offert par Dieu, plutôt que comme une propriété chèrement conquise. Toute naissance n’est-elle pas un miracle ? Et comment répondre au miracle de la naissance ? N’est-ce pas en en prenant soin ? En l’aimant et en veillant à son éducation ?

Dieu n’a voulu « ni sacrifice ni offrande », à part « le sacrifice de louange », « le fruit des lèvres qui confesse son nom » (Hébreux 13v15).

Soyons simplement reconnaissants et « juste là », prêts à répondre « hineni », « me voici » au moment de l’appel.

Aujourd’hui, si vous reconnaissez que Jésus est Seigneur et qu’il a toute autorité, vous êtes invité à répondre « me voici »- « Hineni ! » à Dieu lorsqu’Il vous appelle :

-Jésus est venu appeler, « non pas des justes, mais des pécheurs à la repentance ».

-Dieu vous appelle aujourd’hui à revenir à lui et pour lui, après vous avoir convaincu que ce que vous pensiez faire « pour Dieu », vous le faisiez en réalité « contre Dieu ».

Ainsi appelé par Dieu, vous êtes appelé à répondre « me voici ! », mais aussi, comme le Seigneur dans le jardin de Gethsémané : « non pas ma volonté, mais la tienne, Seigneur ».

« Tu n’as voulu ni sacrifice ni offrande, – tu m’as creusé des oreilles pour entendre–tu n’as demandé ni holocauste ni expiation. Alors j’ai dit : « Voici, je viens avec le rouleau d’un livre écrit pour moi. Mon Dieu, je veux faire ce qui te plaît, et ta loi est tout au fond de moi. » (Psaume 40v7-9)

En ce moment, j’écoute Chavah, « messianic radio »

« Chalut !« 

« Chavah ?« 

Chavah signifie « dire », « parler », « faire connaître », en hébreu.

C’est aussi le nom d’une excellente web-radio que j’écoute en boucle, diffusant de la musique « juive messianique et hébraïque », à des fins d’édification et d’encouragement, en particulier de celles et ceux qui reconnaissent « Yeshouah » (Jésus) comme leur Messie, Sauveur et Seigneur.

Lancée en 2020 par Judah Gabriel Himango, grâce à un financement participatif, cette radio est disponible sur le web et sur applications. Elle s’écoute gratuitement, non parasitée par la pub, et sans qu’il soit nécessaire de se créer un compte.

L’on pourra apprécier la grande qualité des contributions et leur extrême diversité de styles  – on y trouve même du reggae, et, pour une fois…..pas du tout de « gospel » !

Notons enfin que certains des artistes de ce site Web ne sont ni chrétiens ni messianiques, mais pratiquent le judaïsme traditionnel. Leur présence sur une telle radio se justifie, comme l’explique son fondateur, « parce qu’elles font partie de notre héritage en tant que disciples du Messie juif, et parce qu’elles amplifient souvent les paroles des Écritures, en particulier les psaumes. Dans de telles choses, il n’y a qu’édification ».

Sur ce, bonne écoute !

En ce moment, j’écoute : « Elohim Ta’ase She Nigdal », de Chaim Israel (et autres chants de louange hébraïques)

En ce moment revient en boucle cette anthologie de chants de louange hébraïques [près de 2h20 d’écoute], dont « Elohim Ta’ase She Nigdal », de Chaim Israël [à partir de 02:01], de nature à nous faire voyager.

Les paroles en français :

Même si la peur survient,
Et que la guerre menace d’éclater,
L‘amour de Dieu est ma force dans la vie.
Ma bouche dira tes louanges,
Les cieux chantent tes œuvres,
Je prie pour que nous obtenions la bénédiction de la joie.

Dieu fais que nous grandissions,
Que nous accomplissions les commandements sans cesse,
Que nous aimions toute chose et que nous éclairions les ténèbres,
Que nous brillions comme une étoile dans l’espace.
Dieu fais que nous grandissions,
Que nous nous réjouissions et que nous dansions, que nous aimions aimer,
Que nous recevions tout sans poser de question,
Seigneur.


Les nuages sont au-dessus de nous,
Un immense bonheur habite notre cœur,
Les cieux sont vastes et nous recueillons les instants,
Le jour viendra de nouveau
Où notre cœur battra dans le firmament,
Un amour suprême et une union avec la lumière éternelle.

Dieu fais que nous grandissions…

L’anthologie musicale, dans le détail : bonne écoute !

01. In Time N – Avinu malkeinu [02:01]

02.Chaim Israel – Elohim Ta’ase She Nigdal [04:01]

03. Yosi Azulai – Avi HaTov SheBaShamaim [05:02]

04.Lehakat Segol – Hine ani [07:40]

05.Yosef Karduner -Aleinu [03:32]

06.Etti Ankri – Baruh haShem [04:13]

07.HaSodot OST – Venisgav Hashem [03:15]

08.Yehouda Zeitoun – Ata Nisi [03:19]

09.Yariv Goldman – Rahamim Avakesh [04:01]

10.Chaim Israel – Ata Kadosh [04:27]

11.Moshav Band – Shabos Kodesh [03:53]

12.Lakahat Sagol – Shir Lamaalot [07:28]

13.Ben Snof – Shuvi [03:40]

14.Kobi Aflalo – Shma [04:24]

15.Moshe Perets – Shir Lemaalot [06:42]

16.Gad Elbaz – Yedid Nefesh [03:09]

17.Chaim Israel – Shar veOhev [03:35]

18.Josef Chaim (Arthur Akilov) – Avinu Malkeinu [06:49]

19.Shoham Simchi – Shorashai [03:55]

20.Boaz Mauda Ft. Sirusho & Jelena Tomasevic – Time To Pray [04:12]

21.Various Artists & the B’Nai Jeshurun Congregation – Adon Olam [03:11]

22.Chaim Israel – Adon Hakol [03:37]

 23.DD & Apple Pai – Baruh Adonai [03:50]

24.Diwan HaLev – Keayal Taarog [04:47]

25.Eyal Golan – Malchey Hamlachim [04:06]

26.Boaz Mauda – Lahzor Habaita [03:40]

27.Yossi Azulai – Vehi Sheamda [05:09]

28.Jonathan Settel – Adonai S’fatai [04:04]

 29.Yehouda Zeitoun – Mi Kamoha [04:20]

30.Yossi Azulay – Elohim leoreh hayam [04:41]

31.HaSodot OST – Shomer Israel [03:02]

32.Etti Ankri – Mizmor leDavid [04:02]

33.Iris & Ofer Portugaly with Israeli Gospel Choir – Yom Gadol [03:50]

« Car Dieu a fait le serment…. » : le crois-tu ?

« Car Dieu a fait le serment de nous délivrer du pouvoir de tous nos ennemis », nous rappelle ce chant, d’après Luc 1v73-74.

Il est aussi utile de rappeler que nos ennemis ne sont pas « de chair et de sang », ce ne sont pas d’autres êtres humains, comme le précise l’Ecriture, mais plutôt « les dominations, les autorités, les princes de ce monde de ténèbres, les esprits méchants dans les lieux célestes » (Eph.6v12, Hébr.2v14-15, Luc 11v21-22), la puissance du péché (2 Cor.5v15-17, Rom.5-6, 8)….

Et la même Ecriture ajoute que « le dernier » d’entre ces ennemis, la mort, sera détruit (1 Cor.15v26). La mort n’aura donc pas le dernier mot : c’est Jésus-Christ, Celui qui est « la résurrection et la vie », qui aura le dernier mot.

Celui qui est « Dieu sauveur » et « Dieu élargit » nous délivre de tout ce qui nous fait peur, et même de l’angoisse, la peur de la peur.

« Confiance, c’est moi, n’ayez pas peur », dit Jésus (Matthieu 14v27). D’ailleurs, saviez-vous que cette parole « ne crains pas » se trouve 365 fois dans la Bible, soit une fois pour chaque jour de l’année ?

« Oui, j’en suis sûr, rien ne pourra nous séparer de l’amour que Dieu nous a montré dans le Christ Jésus, notre Seigneur. Ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni les esprits, ni le présent, ni l’avenir, ni tous ceux qui ont un pouvoir, ni les forces d’en haut, ni les forces d’en bas, ni toutes les choses créées, rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu ! » (Rom.8v38-39)

« Et maintenant, Israël, qu’est-ce que le SEIGNEUR ton Dieu attend de toi ? Il attend seulement que tu craignes le SEIGNEUR ton Dieu en suivant tous ses chemins, en aimant et en servant le SEIGNEUR ton Dieu de tout ton cœur, de tout ton être, en gardant les commandements du SEIGNEUR et les lois que je te donne aujourd’hui, pour ton bonheur.

Oui, au SEIGNEUR ton Dieu appartient les cieux et les cieux des cieux, la terre et tout ce qui s’y trouve.

Or c’est à tes pères seulement que le SEIGNEUR s’est attaché pour les aimer ; et après eux, c’est leur descendance, c’est-à-dire vous, qu’il a choisis entre tous les peuples comme on le constate aujourd’hui.

Vous circoncirez donc votre cœur, vous ne raidirez plus votre nuque, car c’est le SEIGNEUR votre Dieu qui est le Dieu des dieux et le Seigneur des seigneurs, le Dieu grand, puissant et redoutable, l’impartial et l’incorruptible, qui rend justice à l’orphelin et à la veuve, et qui aime l’émigré en lui donnant du pain et un manteau. Vous aimerez l’émigré, car au pays d’Egypte vous étiez des émigrés.

C’est le SEIGNEUR ton Dieu que tu craindras et que tu serviras, c’est à lui que tu t’attacheras, c’est par son nom que tu prêteras serment. Il est ta louange, il est ton Dieu, lui qui a fait pour toi ces choses grandes et terribles que tu as vues de tes yeux ». (Deut.10v12-21)

 

« Et le Verbe s’est fait chair et il a demeuré parmi nous » (Jean 1v14)

Paroles :

Entrons dans la nuit en cette nuit bénie
Où le salut du monde a resplendi
Entrons l’adorer, l’enfant Dieu est né
Le verbe incarné vient nous sauver

Emmanuel, Emmanuel
Dieu se lève parmi nous
Emmanuel, Emmanuel
Voici l’heure éternelle

Un enfant nous est né
Un fils nous est donné
Voici venir le prince d’éternité
Unissons nos voix aux anges dans la joie
Honneur et louange à notre Roi

Emmanuel, Emmanuel
Dieu se lève parmi nous
Emmanuel, Emmanuel
Voici l’heure éternelle

Entrons dans la nuit en cette nuit bénie
Où le salut du monde a resplendi
Entrons l’adorer, l’enfant Dieu est né
Le verbe incarné vient nous sauver

Emmanuel, Emmanuel
Dieu se lève parmi nous

Emmanuel, Emmanuel
Dieu se lève parmi nous
Emmanuel, Emmanuel
Voici l’heure éternelle

Emmanuel, Emmanuel
Dieu se lève parmi nous
Emmanuel, Emmanuel
Voici l’heure éternelle

(« Emmanuel ». Glorious, 2013)

 

Lecture : Jean 1v1-18

En ce moment, j’écoute : « Voici Noël »

 

Paroles : 

Là dans l’ombre

Le silence

La terre espère un peu de lumière

Une voix s’élèvera

La voix de Celui qui vient pour nous

Il sauvera

L’humanité

Il vaincra notre péché

Voici Noël

L’Emmanuel

Est venu pour l’humanité

Voici Noël Il descend du ciel

Nous chantons pour l’éternité

Alleluia

La lumière

A percé

Les ténèbres de notre pensée

Et son coeur

A porté

Nos fardeaux et nos fragilités

Et sa vie

A gagné

Sur nos peurs à tout jamais

Il est là Il est roi

Voici Noël

L’Emmanuel

Est venu pour l’humanité

Les anges dans le ciel

Annoncent la nouvelle

Et chantent pour l’éternité

Alleluia

Jésus est là!

 

 

« Voici Noël », single de l’Ecole Pierre, une école de Louange, Leadership et d’Audiovisuel pour l’Eglise.

En savoir plus sur : https://www.ecolepierre.com/

 

 

 

Epiclèse : un projet musical et spirituel de « pop recueillie »

Le saviez-vous ?

L’épiclèse (du grec ἐπίκλησις, epiklêsis, invocation), est une invocation au Saint-Esprit dans les liturgies chrétiennes afin d’évoquer et de convoquer sa puissance créatrice. Ce nom rappelle qu’il n’y a pas de louange véritable sans la présence du Saint-Esprit.

Le saviez-vous ?

Épiclèse est un projet musical, dont nous avions déjà parlé sur ce blogue : un album de louange chrétienne au style résolument moderne, tant par ses compositions originales que par ses vieux cantiques restaurés.

Épiclèse est aussi un projet spirituel : grâce à l’édition d’un livre accompagnant l’album, nous sommes invités à redécouvrir la louange comme un mode de vie.

A l’origine d’Épiclèse, une rencontre : celle de Tanya Monnier, responsable de la louange au Temple du Marais, et d’Estienne Rylle, artiste et producteur de musique. Deux approches de la musique a priori éloignées, réunies autour d’une vision commune : produire un album de louange pour et avec l’Eglise. Ils se sont appuyés sur la diversité de plus de 20 musiciens impliqués dans l’Église et la participation d’invités d’honneur tels que Samuel Olivier et Vinz le Mariachi.

Un style inédit : la pop-recueillie

Au travers du vaste répertoire musical de la communauté du Marais qui s’étend du 16ème au 21ème siècle, ils ont su adopter une direction artistique résolument moderne.  Au-delà des frontières de la louange contemporaine, orgue, cordes et batterie électronique se mêlent pour former une “pop-recueillie”, entre musique classique et électro-pop, et célébrer la liberté en Christ.

Les douze titres de l’album suivent l’ordre de la liturgie du culte célébré au Temple du Marais. De la louange à Dieu, à la consécration, la repentance, l’annonce du pardon, la reconnaissance, la méditation de la Parole, la confession de foi, la Sainte-Cène jusqu’au Gloria final. Un véritable chemin de foi, au cours duquel nous (re)découvrons les différentes facettes de la rencontre avec Dieu.

Après des mois de travail intense, l’album est enfin sorti le 27/11 : « Ce projet nous a été donné par le Seigneur, pour l’Église et avec l’Église. Nous croyons que c’est un cadeau très particulier de sa part pas seulement pour Noël… mais pour le monde ! », témoigne l’équipe d’ « Epiclèse » avec reconnaissance, sans oublier de remettre au Seigneur la sortie de l’album :

« Seigneur nous te remettons la sortie d’Épiclèse : que nombreux soient les gens qui prennent le temps de l’écouter, qui le font écouter à d’autres, que les commandes du livre aussi soient au rendez-vous, que la gestion de ces commandes se passe de manière idéale… et que chaque auditeur, chaque lecteur partage sa joie de recevoir ce projet avec d’autres. Tu as guidé chaque étape de la conception et de la formation, la vie du projet maintenant nous échappe en grande partie. Mais nous te faisons confiance : tu utiliseras cette louange que ton Église t’offre pour manifester ta beauté et ta grandeur dans la vie de beaucoup de gens, transformant leurs vies et leurs environnements à travers eux ! Que ton Saint Esprit descende sur chaque auditeur ! »

Source : https://temple.dumarais.fr/sortie-du-livre-album-epiclese/

En savoir plus sur https://www.epiclese.com/

Interview des initiateurs du projet sur Campus protestant.

Ecouter d’autres compositions d’Epiclèse :

« En pensées, en paroles et en actes »

« L’Eternel me sauve et il m’éclaire » (feat. Samuel Olivier et Vinz le Mariachi)

« J’appartiens à Jésus »