La grâce : (s’)en parler en large et en travers

Ceux qui sont remplis de l’Esprit Saint « se parlent et s’encouragent les uns les autres, par des psaumes, des hymnes et des cantiques inspirés par l’Esprit », pour chanter et célébrer le Seigneur « de tout leur coeur » (Eph.5v18-19). Pour quelle raison ? Pour la grâce, par exemple !

En effet, la Grâce est le message central de la Réforme, mais plus encore de la Bible, et de la prédication de Jésus-Christ ! Dans cette nouvelle vidéo Libérer!, voici les bons et les mauvais usages de la grâce, vus par des accompagnants spirituels. Par les pasteurs Caroline Bretones (EPU Marais) et Gilles Boucomont (EPU Belleville).

Plus d’infos sur le ministère Libérer!

Vœux pour accueillir

Ce que l’on peut se souhaiter de mieux : recevoir et accueillir…. Source image : public domain pictures

Je te souhaite pour les temps qui viennent

Non pas de réussir dans toutes tes entreprises,

Mais de recevoir et d’accueillir

Dans ton cœur et dans ta vie,

Jour après jour et pas après pas,

L’amour de Dieu qui donne sens à l’existence.

Je te souhaite, non de ne subir aucun échec,

Mais d’accueillir comme un don

La force qui permet de rester debout malgré les lourds fardeaux.

Je te souhaite non des jours paisibles,

Mais la capacité de te laisser déranger par les autres,

D’accueillir celui qui est différent comme un envoyé de Dieu.

Je te souhaite non d’avoir réponse à toutes les questions,

Mais de savoir recevoir les interrogations des autres,

De porter avec eux leurs peines, leurs soucis, leurs conflits,

Pour être auprès d’eux une sœur, un frère solidaire,

Porteur d’amour et de paix.

(Chemin d’Avent, Ed. du Signe 1995, p 55. Texte cité par le Pasteur Didier Crouzet, le 25/07/21, en fin de culte, au moment de « l’envoi »)

Une Eglise rayonnante : le témoignage de la grâce

Un livre rare, qui ne vient pas vers nous avec ses réponses toutes faites, mais parce qu’il a plein de questions à nous poser.

« Une Eglise rayonnante »(1), de  Jonathan Hanley(2), est un livre rare. Il commence par soulever un paradoxe : les chrétiens savent, par la Bible, qu’ils sont tous sur pied d’égalité, étant des pécheurs graciés, au bénéfice du pardon divin. Pourtant, nombre d’entre eux établissent une hiérarchie entre les différents péchés et réagissent comme si ces derniers étaient « extérieurs » à l’Eglise. Certains péchés sont plus condamnés que d’autres. En tête, ceux associés au SIDA, qui sont autant de défis et de révélateurs des richesses comme des lacunes de l’Eglise dans l’accueil de l’autre : la pratique de l’homosexualité, les relations sexuelles hors mariage et la toxicomanie. En clair, constate son auteur, qui a passé 13 ans de sa vie dans la lutte contre ce fléau du SIDA, il nous manque, à nous chrétiens, « une conscience de la grâce que Dieu répand sur tous ses enfants pour les sauver et les affermir dans son amour » (op. cit., p 11)

Sur ce plan, nous avons tous manqué le but : c’est pourquoi Jonathan Hanley, sortant des sentiers battus, à contre-courant d’une vision « conservatrice » ou « libérale » sur ce sujet sensible, nous invite individuellement et collectivement à nous remettre au diapason de la grâce, pour redécouvrir Dieu tel qu’il est vraiment, et non une caricature légaliste ou laxiste.

L’ouvrage, empreint d’un certain « réalisme pastoral », est écrit avec humilité, compassion et lucidité. Percutant, il n’hésite jamais à appeler les choses par leur nom, mais sans pour autant sombrer dans le cynisme, le fatalisme ou la diatribe. Des pages pleines d’espérance nous rappellent ce que les Ecritures appellent la grâce et comment le vivre individuellement et communautairement, de façon créative et féconde. C’est ainsi que nous serons en mesure de mieux accueillir, écouter et discerner les véritables questions et soifs spirituelles de nos contemporains, pour mieux leur répondre, en équilibrant « affirmation » et « proclamation » de l’Evangile.

Cependant, comme l’auteur tient à le préciser dans un autre cadre, il n’a « pas écrit Une Église Rayonnante parce (qu’il avait) plein de réponses à donner, mais plutôt parce (qu’il avait) plein de questions à poser ». Il n’écrit donc pas en tant que « donneur de leçons », mais en tant que « compagnon de route spirituel », nous invitant à marcher avec lui sur le chemin de la redécouverte d’une vision et d’un projet de Dieu : l’idéal de l’Eglise de Jésus-Christ, appelée à s’incarner dans le monde.

Le livre pourra paraître « daté » aux « digitals natives » des générations Y-Z, témoignant d’une époque où l’internet, déjà présent, n’était pas encore aussi développé qu’aujourd’hui. Néanmoins, il reste toujours aussi actuel, abordant un sujet essentiel, à l’heure où, plus que jamais, l’on s’interroge, même parmi les chrétiens, sur l’Eglise et sa pertinence pour aujourd’hui.

 

Notes : 

(1) Hanley, Jonathan. Une Eglise rayonnante : le témoignage de la grâce. Editions Farel, 2003. Disponible ici ou .

(2) Jonathan Hanley habite près de Dinan en Bretagne. Après avoir œuvré au Pakistan parmi les réfugiés afghans, il a travaillé avec les Groupes Bibliques Universitaires puis exercé en tant que pasteur en Provence. Il a poursuivi pendant une quinzaine d’années un engagement auprès des malades du Sida avec l’association Signe de Vie-Sida. Il anime le comité de sélection des Éditions-LLB (Ligue pour la Lecture de la Bible) et contribue régulièrement à plusieurs périodiques francophones. Écrivain et traducteur apprécié, il est l’auteur de plusieurs livres publiés aux Éditions Farel.

« Depuis que mon premier livre a été publié en 2003, je suis toujours en train d’en écrire. Dans l’écriture, je trouve un outil qui me permet de mettre un peu d’ordre dans mes interrogations, mes découvertes et mes réflexions », explique-t-il sur le blogue artspiin.

 

L’argent : dieu ou don de Dieu

Un livre qui a la pertinence d’aborder le sujet de l’argent sous plusieurs angles plutôt que sous le seul angle de la prospérité financière

Voici un livre très important et bienvenu, que j’ai reçu en cadeau de la part des éditions BLF (merci à eux !), sur ces éternels tabous : « votre argent et Dieu » ! Deux sujets que nous avons tendance à éviter parce qu’en parler nous met mal à l’aise, quand il n’est pas une source de conflit. Pourtant, ces questions sont trop importantes pour être remises à plus tard, d’autant plus que l’argent a envahi l’espace public, et que l’Eglise est invitée à se positionner à son sujet : « s’en servir » pour servir Dieu ou « servir » l’argent – Mamon [la seule divinité appelée par son nom par Jésus en Matt.6v24] en croyant se servir, au risque d’être asservi.

L’auteur nous invite à consacrer « une heure ou deux » de notre temps à la lecture de son livre, pour aborder l’argent sereinement, que nous soyons « chrétien ou non, riche ou pauvre, ouvrier ou col blanc, retraité, travailleur à temps plein ou sans emploi », célibataire, marié ou parent (il est possible d’y trouver des principes pour enseigner et impliquer ses enfants dans la bonne gestion de l’argent), et « même si nous ne sommes pas prêts à parler d’argent ».

Ce ne sera pas du temps perdu, puisque le livre a cette pertinence d’aborder le sujet sous plusieurs angles plutôt que sous le seul angle de la prospérité financière.

Le livre débute de manière inattendue par un interpellant « de quoi avez-vous peur ? », une question qui est « le meilleur point de départ » parce qu’elle a valeur de test et d’évaluation au sujet de nos motivations les plus profondes concernant l’argent. Nous sommes donc invités à « haïr » l’argent comme (mauvais) maître au premier chapitre, avant de l’aborder dans le second, avec l’esprit, non « du propriétaire », mais « du gérant » ou « de l’intendant fidèle »(cf Luc 12v42), sachant que nous aurons à rendre compte devant Dieu de ce qu’Il nous aura confié.

L’auteur nous rappelle également fort opportunément que la Bible nous enseigne « une vérité plus belle » que toutes nos fausses théologies sur l’argent : sont ainsi tour à tour dénoncés les pièges de « la théologie de la prospérité » (qui sème la confusion en établissant un lien entre les richesses matérielles dans cette vie et la bénédiction/la faveur de Dieu) mais aussi l’impasse de « la théologie de la pauvreté » (être pauvre est considéré comme une forme de sainteté et être riche comme une forme de péché).

Les chapitres suivants, plus pratiques, sont à appréhender sur cette base de manière globale – et non cloisonnée, pour une approche équilibrée de l’argent : « budgétisez-le », « gagnez-le », « dépensez-le », « économisez-le », « investissez-le », « donnez-le » [un chapitre particulièrement important], « multipliez-le » et….« ne vous en souciez pas ».

Pour aller plus loin, l’on trouve en annexe un guide d’étude biblique pour examiner l’enseignement de ce livre en groupe pendant cinq semaines, avec Luc 12 comme base scripturaire, ainsi que plusieurs ouvrages et ressources (outils d’éducation, de budgétisation et de planification financière…) recommandées par l’auteur.

Au final – et c’est ce qui me paraît être le plus beau message de ce livre pertinent et interpellant – la vie ne réside pas dans une « liste de choses à faire » ou de « recettes-miracles » à appliquer pour « gagner » ou « garder » ce qui aurait le plus de valeur à nos yeux. Le message fondamental du livre est une invitation à la confiance et à la gratitude, mais aussi à l’espérance que ce domaine « tabou » de notre vie peut être placé sous le règne du Seigneur Jésus-Christ, pour vivre en homme (ou femme) réellement libre.

L’alternative est alors claire : soit nous considérons l’argent comme un dieu et un dû – quand nous ne considérons pas qu’en avoir serait de facto indu – et nous vivrons une vie placée sous le règne de la cupidité, de l’avidité, du mérite et de l’inquiétude ; soit nous le considérons comme un don de Dieu – « un don excellent, nécessaire et utile » – et nous vivrons une vie placée sous le règne de la grâce, empreinte de gratitude, et de la générosité.

Il s’agit donc pour nous d’apprendre et de nous encourager mutuellement, en faisant preuve d’humilité, à considérer que tout ce que nous avons, nous l’avons en réalité reçu. Ce que nous aimons aura ainsi toujours plus de valeur lorsque nous le verrons avec le regard de Dieu, comme un cadeau qui nous est offert, mais aussi, surtout, à offrir et à partager(cf Actes 20v35), plutôt que comme une propriété chèrement conquise !

Ne manquez pas de vous le procurer auprès des éditions BLF ou en vous rendant dans votre librairie chrétienne favorite !

 

En bref :

MUNSON, Jamie. L’Argent, dieu ou don de Dieu. BLF éditions/Cruciforme, 14/09/17

Extrait de la présentation éditeur : Pour nous aider « à remettre l’argent à sa juste place : un outil à utiliser pour glorifier Jésus, une jauge pour évaluer la santé spirituelle de votre cœur et une bénédiction de Dieu dont il est parfaitement légitime de profiter ».

L’auteur, Jamie Munson, est le coprésident de Storyville Coffee Company, une entreprise prospère et très respectée à Seattle, dans l’État de Washington. Il aime développer des outils utiles pour aider les leaders et les organismes à atteindre leur plein potentiel.

 

 

 

Pour le nouveau directeur de la CIA de Trump, «Jésus-Christ est la seule solution pour notre monde » : un témoignage public à double tranchant

« Justificatif », par Xavier Gorce (Blog LeMonde)

Que signifie cette « extraordinaire déclaration de la part d’un des hommes les plus influents du gouvernement Trump » ?

(…) À première vue, cette déclaration est de nature à rendre enthousiaste n’importe quel croyant, tout comme celle du Vice-Président des États Unis, Mike Pence, qui s’est défini lors de son investiture officielle le 21 juillet 2016 comme un «chrétien, conservateur et républicain, dans cet ordre». Il a ajouté : «Nous n’avons jamais eu autant besoin de Jésus qu’aujourd’hui».

Mais « que peut bien signifier exactement que «Jésus-Christ est la seule solution pour notre monde», comme l’exprime le nouveau directeur de la CIA ? Cela fait naître bien sûr de grands espoirs, de voir enfin le pays le plus puissant du monde être dirigé par des chrétiens, avec des principes chrétiens ».

Sauf que, au risque de « casser l’ambiance »….tout témoignage public est à double tranchant, avec des conséquences spirituelles dramatiques : « comme on l’a vu en France avec la confession du candidat vainqueur des primaires de la Droite et du Centre : le «je suis chrétien» doit impliquer non seulement une irréprochabilité pénale, mais également morale. Et le mot « irréprochabilité» est d’inspiration biblique. Les discordances et les contradictions seront passées au scanner du jugement du monde, qui en évaluera [à juste titre] la vérité et la cohérence ». La suite sur le blogue Le Sarment.

Question, qui ne doit pas manquer de nous brûler les lèvres, à la lecture de ce qui précède : « qui peut être sauvé ? »

Personne, sinon par la grâce de Dieu (cf Luc 18v26-27). Et la grâce n’est pas du « laisser faire » ou du « laxisme ». Ce n’est pas non plus « considérer le coupable pour innocent » : la grâce s’est manifestée en Jésus-Christ, lequel est venu, non pour ceux qui se croient justes mais pour des pécheurs à la repentance (Matt.9v12-13 ; Luc 5v31-32) ; et elle nous enseigne à « renoncer à l’impiété et aux désirs de ce monde, afin que nous vivions dans le temps présent avec réserve(sagement), justice et piété »(Tite 2v11-12), mais non de façon « cupide » ou « hypocrite » !

 

« Alors que nous étions encore….Christ… »

Car, alors que nous étions encore "dans notre confort", Christ a quitté sa "zone de confort" pour nous...

Car, alors que nous étions encore « dans notre confort », Christ a quitté sa « zone de confort » pour nous…

« Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies »(Rom.5v6)

« ….Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous »(v8)

« …lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils »(v10)

« …. Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés, nous qui étions morts par nos offenses, nous a rendus à la vie avec Christ (…) Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie »(Eph.2v3-5, 8-9)

« Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus Christ, à qui nous devons d’avoir eu par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes, et nous nous glorifions dans l’espérance de la gloire de Dieu(…)nous nous glorifions en Dieu par notre Seigneur Jésus Christ, par qui maintenant nous avons obtenu la réconciliation » (Rom.5v1-2, 11)

« Tant que la terre durera… » ou la miséricorde de Dieu(Gen.8v22)

"Même la pluie" : elle vient de Dieu, qui "ne la fait pas payer" et la fait tomber au bénéfice de tous. (Affiche du film "Même la pluie", d'Iciar Bollain, 2010)

« Même la pluie » : elle vient de Dieu, qui « ne la fait pas payer » et la fait tomber au bénéfice de tous.
(Affiche du film « Même la pluie », d’Iciar Bollain, 2010)

(Note : ce billet, publié vendredi, a été amélioré ce dimanche 18/10/15)

Un dernier « verset-harpon »(en gras)pour le week-end(et pour votre route ?). Il importe de le lire dans son contexte, soit celui du récit de Noé et du déluge(Gen.6-9)

« Noé éleva un autel pour le Seigneur. Il prit de tout bétail pur, de tout oiseau pur et il offrit des holocaustes sur l’autel. Le Seigneur respira le parfum apaisant et se dit en lui-même : « je ne maudirai plus jamais le sol à cause de l’homme. Certes, le cœur de l’homme est porté au mal dès sa jeunesse, mais plus jamais je ne frapperai tous les vivants comme je l’ai fait.

Tant que la terre durera, semailles et moissons, froid et chaleur, été et hiver, jour et nuit, jamais ne cesseront. »(Gen.8v22. TOB)

Tel est Notre Dieu, qui « fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons », qui « fait pleuvoir sur les justes et les injustes »(Matt.5v45), et qui est « bon pour les ingrats et pour les méchants »(Luc 6v32)

Notre Dieu est donc bon et miséricordieux… »tant que la terre durera ». Car, un jour, cette terre prendra fin. La grâce de Dieu n’a qu’un temps. « La terre dure », comme expression de « la patience de Dieu », « qui ne veut qu’aucun périsse, mais que tous viennent à la repentance »(2 Pierre 3v9). Mais un jour, tout viendra au jugement, la terre étant « réservée », non pour l’eau(comme aux temps de Noé), mais « pour le feu »(2 Pie.3v7-12).

Ne pensons donc pas que, parce que le soleil se couche et que la pluie tombe, nous n’aurons aucun compte à rendre de nos actions, ou que cet « ordre naturel des choses » cautionne nos mauvaises actions. « Aujourd’hui est le jour du salut » ; « aujourd’hui » est « le temps favorable »(de la grâce), de se repentir, de (re)venir à Dieu(2 Cor.6v2). « Demain » sera sans doute trop tard. Nous ne maîtrisons pas demain, mais nous pouvons décider pour aujourd’hui. C’est pourquoi, vous qui lisez ceci « aujourd’hui », prenez la bonne décision.

 

 

J’ai besoin de la grâce de Dieu

C'est la grâce de Dieu qui nous sauve. Comment se manifeste-t-elle ?

C’est la grâce de Dieu qui nous sauve. Comment se manifeste-t-elle ?

Pour être sauvé. Et pour vivre.

Nous en avons tous besoin.

 

La vie du Roi Salomon – ou plutôt, la fin de sa vie, est de nature à nous interpeller(Lire 1 Rois 10 et 11). Comment, en effet, le roi le plus sage que la terre ait portée ait pu se laisser prendre à ces trois pièges : avoir beaucoup d’or, beaucoup de femmes(notamment étrangères, ayant chacune leurs propres dieux) et beaucoup de chevaux ? Trois choses qu’un roi d’Israël ne devait pas avoir beaucoup cf Deut.17v16-17.

La fin de sa vie, qui n’a pas été à la gloire de Dieu, est là pour enseigner que nous avons tous besoin de la grâce de Dieu, qui que nous soyons .

D’abord pour être sauvé, mais aussi pour vivre :

Lire Romains 3v23-24 ; Eph.2v8-10 ; Tite 2v11-14

 

Sur ce, bon week-end !